SAMEDI 15 MARS

19H – SALLE DES FÊTES DU GRAND PARC

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PETER PERRETT

(Indie Rock, Punk – UK) 

C’est l’un des plus émouvants, car inimaginable, come-back de l’histoire du rock. Étoile filante du post-punk avec ses flamboyants The Only Ones (1978-1981), Peter Perrett a ensuite disparu de la scène. C’est en 2017 qu’il retrouve le chemin du studio, à la surprise générale et sort un premier album solo How The West Was Won après plus de 30 ans de silence. Après le sophomore “Humanworld” en 2019, Peter Perrett s’est entouré d’un casting de luxe pour son 3ème album. 

Il enregistre avec ses enfants, les membres de son groupe et fait appel à Johnny Marr, Bobby Gillespie et Carlos O’Connell de Fontaines DC. A 72 ans, l’ex chanteur de The Only Ones délivre 20 titres rock d’une élégance rare faisant le pont entre la vieille garde : Lou Reed, Rowland S Howard et les modernistes de Fontaines DC. 

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BRYAN'S MAGIC TEARS

(Madchester, Indie Rock – Paris) 

Baggy, coupe au bol, lunettes de vitesse… Vous êtes prêts à entrer dans la dimension BMT. Ce projet, lancé il y a 4 ans par Benjamin Dupont (Dame Blanche) et dans lequel on croise des membres et ex-membres de La Secte Du Futur et Marietta, a en effet tout pour occuper ce créneau, plus tellement usité ces temps-ci, d’ailleurs : mélodies toxiques, guitares alternant fouet et caresse, son fantômatique et nom alambiqué faisant référence à un obscur dealer d’acide parisien.

Si on pense aux 90’s lorsqu’on écoute Bryan’s Magic Tears, ce n’est pas à cause du son mais d’un état d’esprit propre à l’époque et à un moment précis de l’adolescence, celui où s’effaçaient doucement les dernières illusions, ce spleen insouciant et blasé, dépeint dans certains morceaux de Sebadoh, Beat Happening ou Nirvana, ou dans cette fameuse phrase extraite du « Romeo Had Juliet » de Lou Reed : « It’s hard to give a shit these days » – « Difficile d’en avoir quoique ce soit à foutre, aujourd’hui ».

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DA GOOGIE + CARA TIVEY

(UK – Experimental, Dream Pop) 

Un CV à en faire pâlir le-la moindre musicien-ne indépendant, Deb Googe a joué de la basse au sein de formations telles que My Bloody Valentine, Primal Scream, Thurston Moore et dans le groupe de l’ex-guitariste de The Fall, Brix Smith. Elle a été la figure tutélaire de Snowpony avec Katharine Gifford (Stéréolab). Elle s’associe à une autre ponte de la musique indie : Cara Tivey qui a accompagné Blur en tournée ou collaboré avec Billy Bragg (entre autres).Le duo nommé Da Googie / Cara Tivey viendra présenter son projet musical expérimental et dream pop au festival Bordeaux Rock en Mars prochain.

Non classé